Policier & Science-Fiction / Science-fiction/ fantasy/fantastique
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Isaac Asimov

Le cycle de Fondation 1, Le déclin de Trantor

Prélude à Fondation, L'aube de Fondation, Fondation

Éditeur
Omnibus
Année
1999
Ean
9782258051041
Présentation

Ce premier volume du fameux cycle, Fondation d'Isaac Asimov, baptisé Le déclin de Trantor, regroupe Prélude à Fondation, L'aube de Fondation et Fondation. L'Empire galactique réunit vingt-cinq millions de mondes habités, la population ne peut se compter qu'en quadrillions. Sur la planète blindée, Trantor, capitale de l'Empire aux mains d'une bureaucratie ultra performante et informatisée, un jeune mathématicien, Hari Seldon, vient d'inventer la psychohistoire concept qu'il s'apprête à exposer devant un congrès de mathématiciens. La mise en équation des comportements humains lui permet de modéliser le devenir de la société. Hari Seldon ne voit pas d'application pratique dans son modèle qui n'est pour lui que spéculation. Convoqué par l'empereur Cléon, conscient de la fragilité de l'Empire, le jeune savant est sommé de se mettre au service du pouvoir qui entrevoit avec la psychohistoire la possibilité d'infléchir l'avenir. Seldon prend la fuite avec une belle historienne, Dors Venabili. La découverte des dédales de Trantor et de sa multitude de communautés isolées et autonomes, lui permet d'expérimenter à l'abri des convoitises des plus puissants et d'affiner sa théorie dans les soubresauts de l'Empire agonisant. Devant l'imminence de la désagrégation de l'Empire, Seldon met en place un projet secret et peut-être salvateur, Fondation. Un deuxième volume, Vers un nouvel empire clôt le cycle de Fondation.

Trantor, la planète blindée, est depuis douze mille ans la capitale de l'Empire galactique : vingt-cinq millions de mondes habités, une population qui se compte en quadrillions, une bureaucratie supérieurement compétente et informatisée. Un jeune savant, Hari Seldon, s'apprête à exposer sa découverte - la psychohistoire - à un congrès de mathématiciens. Des équations qui permettraient de modéliser l'avenir. Donc de le prédire ? Convoqué par l'empereur, Seldon s'en défend. Mais le souverain annonce la couleur : " Mieux vaut fabriquer un bon avenir, lâche-t-il, qu'en prédire un mauvais. " Menacé de voir sa découverte devenir l'enjeu des luttes pour le pouvoir, l'inventeur ne perd pas courage : la psychohistoire lui dévoile toutes les cartes. Même après sa mort, il reviendra sous forme d'hologramme indiquer le bon choix à ses successeurs.

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